Aussitôt, l’appareil de contrôle du ministère a appréhendé la dame en question, qui a été convoquée hier au ministère avec son employée de maison. Interrogée sur son geste, M. Ch. a assuré qu’il s’agissait « d’un moment de précipitation où elle a employé les mauvais termes sur son compte Facebook », soulignant qu’elle a « effacé son message dès qu’elle s’est aperçue de son erreur ». Toujours selon le communiqué du ministère, elle a présenté ses excuses et déclaré se soumettre aux lois en vigueur, s’engageant à ne plus recommencer et à publier des excuses sur sa page.